Les gens nomment cela Al-Halâl (qui est malheureusement trop souvent suivi par le Harâm dans les festivités). Ainsi, nous tombons dans un problème rapporté depuis longtemps par les légistes et qui existe encore dans de nombreux pays, et qui est que (pour eux) le contrat de mariage entre les époux est un contrat administratif et non religieux, et ce surtout dans les pays de mécréance. Il faut donc faire très attention à ce que l’on fait, autant du point de vue du prétendant que du tuteur. Cette attestation de la mairie allemande est-elle plus valable que l’attestation du tribunal (dans un pays musulman) ? Non, il est dans le même cas que les mécréants qui embrassent l’islam (en couple et qui ne renouvellent pas leur contrat de mariage), le contrat reste valide. ». » (Al-Fatâwâ, 33/158). Pour les uns fidèles cette réponse de l’Imam est disproportionnée. Toute vente entre les musulmans, même si elle n’est pas enregistrée comme c’est de coutume au service des transactions concernant par exemple une terre ou une construction, est une vente légiférée (religieusement) et il n’est permis à aucune des deux parties de dénoncer cet accord, et celui qui le fait s’oppose à la Législation d’Allah. Les savants ont bien montré, comme nous le verrons, que c’est un contrat comme les autres et que rien ne le différencie d’un tout autre contrat. Mais l’annonce est une condition de perfection. ... Etant pas spécialiste du domaine, si je me réfère à un Imam qui a étudié l'Islam, je crois à son avis. Concernant l’annonce du mariage (I’lân), est-ce une condition de validité du contrat de mariage ? Donc dire que la prononciation de Al-Îjâb (la demande) et Al-Qabûl (l’acceptation) est obligatoire fait tomber les gens dans une difficulté dont ils n’ont pas besoin et « [Allah] n’a mis aucune difficulté pour vous dans la religion ». Ainsi Shaykh Al-Islâm ibn Taymiyyah dit : « Quant au mariage secret sur lequel on s’entend pour le cacher et ne prendre aucun témoin, ce mariage est invalide pour l’ensemble des savants, et c’est une forme de fornication. ». Comment se marier ? Ainsi, de la même manière que deux personnes peuvent conclure un contrat de vente ou d’achat, les deux époux peuvent conclure un mariage, quelle que soit la langue. L'Imam demande au père de la future mariée (ou le tuteur ou wali) s'il donne sa fille en présent au jeune homme. L'imam de la mosquee se laisse aller dans un breakdance. Afin de préserver les droits, car malheureusement les musulmans n’accordent plus entre eux l’importance qu’ils donnaient par le passé à la religion, lorsque les formules : « Je te marie untelle », « je te donne pour épouse untelle », même si elles n’étaient pas inscrites sur un bout de papier, elles étaient inscrites dans les cœurs. Ignorante et Naïve, je les cumule dis donc. Pour les hanafites, le simple échange (l’accord de principe) (Mucâtâ, par exemple pour le commerce, je donne au commerçant le prix de la marchandise et la prends, sans même rien dire) suffit, et c’est là la vérité sur laquelle il n’y a aucun doute, car nous ne connaissons rien de la Sunna rapportée dans les livres authentiques et les récits des pieux prédécesseurs que ces derniers prononçaient dans tous leurs contrats ce que l’on nomme Al-Îjâb (la demande) et Al-Qabûl (l’acceptation), surtout dans le commerce. La cour fédérale d'appel d'Atlanta a octroyé un sursis à Domineque Ray, 42 ans, qui devait recevoir une injection létale jeudi soir près de Mais revenons à la réponse que tu as commencé à donner et qui est connue. L’absence de preuve disant qu’elle est une condition de validité. Vous pouvez lire dans le coran sourate 5 verset 5 qu'il permet à un homme musulman d'epouser une non musulmane. Il faut donc se marier à la mairie. Les conditions du mariage sont de deux types : des conditions de validité, et des conditions de perfection de l’acte. Une copine à moi qui l'a fait sans faire de fête rien, ça leur as pris quelques minutes c'est très rapide. La prononciation de Al-Îjâb(la demande) et Al-Qabûl (l’acceptation) est-elle obligatoire ? Nous le louons, cherchons Son aide et Son pardon… ». Question - Bonjours, je suis un avocat et j’ai été contacté par un garçon provenant du Kosovo qui a obtenu son statut de réfugié politique en Italie. Voilà ma réponse à la question. ». C'est-à-dire que ce n’est pas une condition, mais tu n’ignores pas qu’il fait partie de la sunna de débuter la demande en mariage par l’introduction avec laquelle le Prophète (salallahu ‘alayhi wasalam) commençait ses sermons et qu’il enseignait à ses Compagnons : « La louange est à Allah. Donc, ce deuxième acte de mariage est nul, mais s’il est composé d’un contrat religieux et administratif. À la différence du christianisme, l'islam ne considère pas le mariage comme une institution ou un sacrement interdisant le divorce, mais comme un contrat de droit privé régi par des dispositions d'ordre public et susceptible de dissolution. Et on demandera la permission à la femme qui n'avait jamais connu de mari auparavant..." (rapporté par Muslim). Et il est réellement arrivé qu’un homme se présente pour demander une femme en mariage (Khitbah), sa famille était d’accord, il y avait des témoins, et tout ce qui s’en suit. Nous nous désavouons de toutes les publicités que vous pouvez voir sur le Par contre, s’il fait un nouveau contrat de mariage, en épousant une autre femme, il ne sera valide qu’avec deux témoins dignes de confiance. Bien souvent, même si les deux époux sont attachés à leur religion, on fait venir l’imam local et là on tombe trop souvent dans le folklore : entre les formules incantatoires, les formulations étranges, la lecture de sourate Al-Fatihah, etc. Une fois de plus, une question qui semble bizarre tant cela est entré dans les mœurs. Voici ce en quoi nous croyons. Fèzè Lakay Recommended for you Plus encore, la plupart des gens considèrent que cela fait partie de la religion et qu’il est nécessaire « d’être marié » par un imam ou un frère. ». [1] Une fois de plus, une question qui semble bizarre tant cela est entré dans les mœurs. ? Nul doute que la réponse sera que l’attestation du Tribunal musulman est plus valable. Personne ne dit cela, et aucun musulman ne peut dire cela, et même si on admet que quelqu’un l’ait dit, nous lui disons, à travers les termes du Coran : « Apportez vos preuves si vous êtes véridiques ». Ainsi, si tu veux les convaincre, ou au moins leur présenter les preuves, tu dois répondre à ma question : Cette attestation de la mairie allemande est-elle plus valable que l’attestation du tribunal dans tout pays musulman ? Nous disons, en nous attachant au jugement de la Législation d’Allah, comme l’a dit le Prophète (salallahu ‘alayhi wasalam) : « Pas de mariage sans l’accord du tuteur et la présence de deux témoins ». Il peuvent aussi se marier dans les autres cas, mais il y a un risque lorsque la mère est rhesus negatif et le père rhésus positif. Enfin, c'est faisable pour une cérémonie laïque (puisque celle-ci n'a aucune valeur légale), mais pour être reconnus mariés légalement, il y a un certain nombre de droits et de démarches. Si quelqu’un se marie en secret sans annoncer le mariage, le contrat de mariage est-il valide ? Il voudrait bien pouvoir se marier avec une compatriote qui vit toujours à Pristina pour pouvoir ensuite demander le regroupement familial. Puis un membre de l’assistance adresse la question suivante : « Parfois nous sommes invités et nous rendons à ce genre d’assise, et après avoir débuté par le sermon d’introduction, et adressé un rappel concernant le mariage et conseillé aux jeunes de se marier, le tuteur de l’homme, son oncle ou son père, dit : « je demande votre fille pour mon fils », et le tuteur de la fille dit : « j’accepte. Donc, afin que nous soyons sûrs, nous appuyions sur une preuve évidente et que les gens ne tombent pas dans l’illicite, avons-nous accompli ici un contrat de mariage religieux ? » (Al-Irwâ’ 1826). Le mariage (en arabe : الزواج, az-zawāj?, Écouter) est, en droit musulman, l'union d'un homme et d'une femme en vue de procréer 1. Alexandre. Dès l'instant qu'elles ne pratiquent pas, il est interdit aux musulmans de se marier avec elles. Pour ceux qui sont d’avis que la prononciation de Al-Îjâb (la demande) et Al-Qabûl (l’acceptation) est obligatoire, cette pratique n’est pas valide. La question que tout le monde se pose comment un homme de Dieu peut-il demander à une femme de divorcer de son mari ? Cela est connu mon frère, tu devrais connaître la réponse. ». Tes parents n'ont pas à … Si un homme épouse une femme avec l’accord du tuteur et la présence de deux témoins dignes de confiance, musulmans naturellement, le mariage est valide, même s’il n’annonce pas le mariage. Ainsi, si nous savons que l’obligation de la prononciation de Al-Ijâb(la demande) et Al-Qabûl (l’acceptation) n’est pas rapportée dans la Législation, et que cela entraîne des difficultés dans les transactions entre les gens, nous comprenons que cette question admet plus que la nécessaire prononciation de Al-Ijâb (la demande) et Al-Qabûl(l’acceptation). ). Donc, si on considère qu’aucun hadith n’est authentique à ce sujet, on ne peut pas dire que c’est une condition de validité. En France, un mariage fait par un imam n'est pas valide légalement [et aussi islamiquement]. Aujourd’hui la coutume est qu’il est obligatoire d’enregistrer l’acte de mariage au tribunal, mais cela ne veut pas dire que le contrat de mariage religieux est nul et ne s’applique pas jusqu’à devenir un acte de mariage administratif. S'il s'agit d'une femme divorcée ou veuve, elle peut procéder elle-même à son mariage. Depuis l’article 9 de la loi n° 81-973 du 29 octobre 1981, une personne en situation irrégulière peut se marier en France : aucune condition de régularité de séjour ne peut être exigée pour se marier.. Après avoir dit cela, nous disons que cela est un contrat de mariage religieux, mais le tuteur dit : « Non, je veux un contrat de mariage religieux, là ce n’est qu’une demande en mariage. Je … Il y a deux avis chez les savants, pour les shaféites la prononciation de Al-Îjâb (la demande) et Al-Qabûl (l’acceptation) est nécessaire pour que le contrat soit valide, pas seulement le contrat de mariage, mais également le contrat de vente. Nous nous désavouons de toutes les publicités que vous pouvez voir sur le Il nous faut faire la différence entre ce qui est Sunna (dans le sens de surérogatoire) comme « l’introduction de la nécessité », et ce qui est une condition de validité comme Al-Îjâb (la demande) et Al-Qabûl (l’acceptation) afin d’écarter toute confusion, et qui peuvent être faite en toute langue.