Suffit-il de parler la même langue pour comprendre ce qu'on se dit ? La valeur d'une civilisation se réduit-elle au développement de sa technique ? Une machine tombe en panne, une personne tombe malade, ces deux événements sont-ils de même nature ? La science apporte-t-elle à l'homme l'espoir de constituer un langage artificiel ? Peut-on concevoir les droits de l'homme indépendamment des droits du citoyen ? Etre conscient de soi est-ce être maître de soi ? La justice ne relève-t-elle que de l'Etat ? L'origine du langage : vrai ou faux problème ? Les mathématiques prétendent à la rigueur. L'art est-il une imitation de la nature ou une création ? La méthode est-elle nécessaire aux sciences ? La passion est-elle une forme de dépendance ? N'y a-t-il que ce qui dure qui ait de la valeur ? Est-il souhaitable de réaliser tout ce qui est techniquement possible ? Faire son devoir sans être heureux, est-ce toute la morale ? L'homme pourrait-il vivre sans conscience du passé ? Ceci s’explique par le fait que, dans le cadre de l «La philosophie a des points communs avec ce que le développement personnel prend comme terrain, par son questionnement: qu'est-ce qu'une vie réussie, qu'est-ce … Faut-il s'abstenir de penser pour être heureux ? La technique n'est-elle pour l'homme qu'un moyen ? La raison est-elle génératrice de violence ? La vérité est-elle différente de la réalité ? Les sciences progressent-elles vers la vérité ? La liberté de penser peut-elle se passer de la liberté d'expression ? ». Suis-je le mieux placé pour savoir ce que je suis ? La liberté humaine est-elle rendue impossible par la nécessité de l'obéissance aux lois ?  Mais si le sens de la vie consiste dans le plaisir que l'on peut retirer d'une activité quelconque, je trouve que c'est assez mesquin. Peut-il être raisonnable de désobéir à la loi ? Qu'en pensez-vous ? La connaissance d'une science exige-t-elle la connaissance de son histoire ? Peut-on affirmer que la force de l'Etat fait la liberté des citoyens ? Doit-on concevoir des limites à l'expérimentation sur le vivant ? Les sciences de l'homme doivent-elles s'inspirer des méthodes utilisées dans les sciences de la nature ? Le droit peut-il faire abstraction de la morale ? Un être vivant peut-il être assimilé à une machine ? Pourquoi n'a-t-on jamais fini d'écrire l'histoire ? La culture se contente-t-elle seulement de compléter la nature, ou se substitue-t-elle à elle ? Suffit-il, pour être soi-même, d'être différent des autres ? L'essentiel de l'homme, n'est-ce pas son animalité ? Peut-on connaître la vérité par des signes ? Sommes-nous autorisés à confondre action illégale et action injuste ? L'homme n'est-il qu'une espèce naturelle ? En quoi l'art peut-il favoriser la liberté ? Peut-on nous reprocher une faute de goût ? Pourquoi respecte-t-on les oeuvres d'art ? L'affirmation de ma liberté peut-elle se concilier avec le principe du déterminisme de la nature ? Qu’est-ce qu’une vie réussie ? L'homme introduit-il le désordre dans la nature ? La connaissance scientifique dissipe-t-elle la superstition ? La liberté politique se réduit-elle au pouvoir de vivre tranquillement ? Peut-il être légitime de s'opposer à la loi ? Le journaliste peut-il décider qu'un événement est historique ? L'art, dit Paul Klee, ne reproduit pas le visible; il rend visible. En quoi le langage est-il spécifiquement humain ? Le pouvoir le plus violent ne serait-il pas celui de la non-violence ? Les religions peuvent-elles être objet de science ? L'art peut-il nous affranchir de l'ordre du temps ? Le travail est-il le lien le plus étroit entre l'homme et la réalité ? N'y a-t-il de rationnalité que scientifique ? Corrigé de … Les échanges marchands peuvent-ils à la fois unir et satisfaire tous les membres d'une société ? Quelle différence faites-vous entre la beauté d'une oeuvre d'art et la beauté de la nature ? Une société est-elle d'autant plus juste que l'ordre y règne ? Dans tout amour n'aime-t-on jamais que soi-même ? Peut-il y avoir une science de l'inconscient? La vérité est-elle fille de la discussion ou fille de la sympathie ? Le gouvernement des meilleurs, cette expression a-t-elle un sens ? Un homme peut-il m'être totalement étranger ? Agir spontanément, est-ce agir librement ? L'expression « l'erreur est humaine » signifie-t-elle une excuse, une constatation, une condamnation ? L'expérience de la beauté passe-t-elle nécessairement par l'oeuvre d'art ? Le sentiment qu'a l'homme de sa précarité est-il le principal ressort de la foi religieuse ? L'art permet-il de mieux connaître la réalité ? Y a-t-il des fondements naturels de l'ordre social ? Que penser de cette définition: « L'homme est un être qui s'invente des dieux » ? La féminité est-elle un artifice de la culture ou une différenciation naturelle ? Le pouvoir politique peut-il échapper à l'arbitraire ? Les instruments de mesure du temps nous font-ils connaître ce qu'est le temps ? Peut-on penser l'histoire sans affirmer la liberté humaine ? La connaissance de l'histoire permet-elle de mieux comprendre la politique ? Y a-t-il des réalités économiques ou bien l'économie n'est-elle qu'une certaine interprétation de la réalité ? Peut-on soutenir : « A chacun sa vérité » ? La représentation esthétique est-elle mensongère ? Une oeuvre d'art peut-elle nous apprendre quelque chose ? Quel sens donner à l'expression « se réaliser dans son travail » ? La vérité finit toujours par triompher… dit-on ; n'est-ce pas parce qu'on finit toujours par nommer « vérité » ce qui triomphe ? Lorsque je dis « J'ai raison », mon interlocuteur n'a-t-il plus qu'à se taire ? Plus on en boit, plus on a soif. Les hommes font-ils leur propre histoire ? L'histoire peut-elle délivrer l'homme du déterminisme naturel ? Le temps n'est-il pour l'homme que ce qui le limite ? Les concepts de l'historien sont-ils eux-mêmes historiques ? La réussite technique est-elle le critère de la vérité scientifique ? Peut-on refuser d'obéir à la loi politique par respect pour la loi morale ? La conscience morale n'est-elle que le résultat de l'éducation ? Les hommes se croient-ils déterminés parce qu'ils se masquent leur responsabilité ou bien se croient-ils libres parce qu'ils ignorent les causes de leurs actes ? pensez-vous qu'une telle question puisse être posée ? Les rapports entre les hommes sont-ils déterminés par leurs intérêts ? Est-on méchant seulement parce qu'on est malheureux ? On ne peut répondre à ces questions sans s’être demandé au préalable en quoi consiste, de façon générale, la « réussite" pour l’homme.. Selon Aristote La raison peut-elle être l'objet d'une passion ? Comment l'art peut-il s'insérer dans la vie sociale ? Philagora, ressources culturelles, un groupement de sites gratuits en langue française pour la diffusion conviviale de la culture qui cherche l'harmonie du texte des couleurs et des sons en s'adressant à tous, les petits comme les En quel sens l'« économique » est-il aussi politique ? Une société juste peut-elle s'accomoder d'inégalités ? Les idées ont-elles le pouvoir de changer le monde ? Sans métaphysique, l'homme peut-il comprendre son existence ? La question : « Qu'est-ce que l'homme ?, est-elle la question fondamentale de la philosophie ? L'histoire peut-elle tenir lieu de religion? Peut-on penser philosophiquement la pluralité des philosophies ? N'y a-t-il aucune vérité dans le mensonge ? La connaissance scientifique peut-elle seule atteindre la vérité ? Peut-on considérer la non-violence comme une autre violence ? La science peut-elle se passer de métaphysique ? Dans quelle mesure peut-on parler de révolution scientifique ? Peut-on se prémunir contre l'arbitraire ? L’ascète, lui, s’impose une discipline de vie où la privation, voire la Qu'est-ce qui, selon vous, peut le mieux unir les hommes : la raison, l'intérêt, ou le sentiment ? Une passion sans illusion est-elle possible ? Quelles compétences faut-il avoir pour apprécier une oeuvre d'art ? Les progrès de la connaissance scientifique sont-ils toujours dus à la pensée logique ? Est-il légitime de parler d'un pouvoir de la technique ? L'histoire peut-elle nous donner des leçons de morale ? Un fait unique et qui ne se répète pas peut-il être l'objet d'une science ? L'Etat restreint-il la liberté individuelle ? La foi religieuse exclut-elle tout recours à la raison ? Le temps est-il notre ennemi ou notre allié ? A quel type d'égalité renvoie l'exigence de justice ? Le philosophe et le savant ont-ils le même souci de la vérité ? L'art nous montre-t-il les choses telles qu'elles sont ? La démocratie peut-elle échapper à la démagogie ? La solidarité entre les hommes n'est-elle que le résultat d'un calcul d'intérêt ? La libération passe-t-elle par le refus de l'inconscient ? Peut-on définir une limite entre le normal et l'anormal ? Faut-il revendiquer un droit à la passion ? Qu'est-ce qui fait la valeur d'un témoignage pour la justice ? Y a-t-il quelque chose que le langage ne puisse dire ? La liberté de chacun a-t-elle pour condition la liberté de tous ? Y a-t-il des concepts proprement philosophiques ? × Qu'est-ce que prendre la vie avec philosophie ? Sachant ce qu'est le bien, peut-on faire le mal ? Peut-on dire du doute qu'il est utile à la connaissance, mais nuisible à l'action ? Faire un enfant, écrire un livre, planter un arbre, ça me va bien dans l'esprit : on transmet ses gènes, on transmet son expérience, on améliore son écosystème. La conscience que nous avons de notre liberté vient-elle de ce que l'avenir nous paraît indéterminé ? Pourquoi parle-t-on de moins en moins de savants, et de plus en plus de chercheurs ? Sentir c'est savoir qu'on sent, et savoir, c'est percevoir. Quand on se borne à exercer son droit, est-on, pour autant, en règle avec sa conscience ? Comment réussir sa vie ou plutôt qu'est-ce qu'une vie réussie. La technique engendre-t-elle ses propres fins ? Que nous apprend l'erreur sur la vérité ? Juste ça. Devient-on artiste en imitant les autres artistes ? Etre philosophe, est-ce renoncer à changer l'ordre du monde ? La propriété est-elle un fait de nature ou un fait de culture ? Comment comprendre l'expression : « ne pas savoir ce que l'on fait » ? Peut-on concevoir une anthropologie proprement philosophique ? Que pensez-vous de cette remarque de Paul Valéry : « Il fallait être Newton pour apercevoir que la lune tombe alors que tout le monde voit bien qu'elle ne tombe pas. La conscience de soi est-elle une connaissance? Est-il légitime d'affirmer que le passé est nécessaire et le futur contingent ? L'oeuvre d'art peut-elle nous apprendre quelque chose ? Comment peut-on être sûr d'avoir raison ? L'erreur a-t-elle un rôle dans l'élaboration de la vérité ? L'application du droit dépend-elle des circonstances ? Que pensez-vous de cette adage : « Que la justice s'accomplisse, le monde dût-il s'effondrer ? Une expérience de la liberté est-elle possible ? Le développement de la science et de la technique entraîne-t-il nécessairement la disparition de toutes les croyances irrationnelles ? La duplicité de la conscience rend-elle inutile l'hypothèse de l'inconscient ? Le langage est-il un tableau fidèle de la réalité ? La vie n'a d'autre but qu'elle-même. Pourquoi observer sans théorie instruit-il si peu ? Cf Epicure, Montaigne Donc, c’est en terme de qualité qu’il faut penser le rapport au temps, non en termes de Suffit-il d'être conscient de ses actes pour en être responsable ? « La science physique a trouvé dans les mathématiques un langage qui se détache sans difficulté de sa base expérimentale et qui, pour ainsi dire, pense tout seul. La connaissance du passé peut-elle être un instrument de notre liberté ? Peut-on remédier à l'injustice par la violence ? La philosophie peut-elle s'accorder avec la religion ? Suffit-il d'avoir bonne conscience pour être innocent ? Respecter l'autre, est-ce respecter en lui la personne humaine ? Faut-il préférer la révolte à la résignation ? La moralité consiste-t-elle à être animé de bons sentiments ? Peut-on dire d'un acte qu'il est inhumain ? Peut-on reprocher à une oeuvre d'art de « ne rien vouloir dire » ? Peut-on affirmer que par son oeuvre l'artiste crée un autre monde ? L'émotion est-elle constitutive du sentiment esthétique ? Qu'est-ce qui justifie le respect d'autrui ? La beauté est-elle dans le regard ou dans l'objet regardé ? Peut-on concevoir une fin de l'histoire ? Ce qui est imprévu était-il imprévisible? La justice est-elle compatible avec l'efficacité ? Peut-on exiger d'un artiste un autre engagement que celui de produire des oeuvres d'art ? Quelle est la mesure de l'efficacité politique ? Croire est-ce renoncer à l'usage de la raison ? L'acte libre est-il un acte imprévisible ? La recherche de la justice doit-elle se contenter de satisfaire le sentiment du juste et de l'injuste ? Fournir un exemple, est-ce constituer une preuve ? Est-il nécessaire que l'histoire de l'humanité ait un sens pour que la vie d'un homme en ait un? Est-ce la vérité qui confère la puissance, ou bien la puissance qui décide de la vérité ? L'expression « langage mathématique » a-t-elle un sens rigoureux ? Et le sens, c’est bel et bien ce qui fait l’essence même d’une vie réussie… Une vie réussie, se rapprocherait plutôt aujourd’hui, surtout chez la jeune génération, d’un équilibre vie professionnelle/vie personnelle , très loin de leur aînés. La raison ne demande rien qui soit contraire à la nature. A chacun autant. Peut-on comprendre le présent si l'on ignore le passé? Les hommes doivent-ils travailler pour être humains ? Dissiper une illusion, est-ce seulement corriger une erreur ? L'expérience joue-t-elle le même rôle dans les sciences et dans la conduite de la vie ? Le langage sert-il à parler ou bien à penser ? Peut-on concevoir des droits de l'homme indépendamment des droits du citoyen ? Dépend-il toujours de nous d'éviter l'erreur ? Toutes les illusions sont-elles dangereuses? Parle-t-on en un même sens de la santé du corps et de la santé de l'esprit ? La connaissance scientifique a-t-elle des limites ? Comment concilier l'amour de la vérité avec la difficulté de la définir et de respecter les obligations qu'elle entraîne ? Peut-on se permettre de rejeter l'idée de vérité ? Sur quelles raisons pouvons-nous nous appuyer pour admettre l'existence d'un inconscient ? Toutes les contraintes sociales sont-elles des oppressions ? La mort est-elle dans la nature des vivants ? Quand et pourquoi est-on fondé à dire d'une idée qu'elle est dépassée ? Le temps est-il pour l'homme une limite ? Si nos croyances ne reposent sur rien de certain, d'où vient-il alors que nous persévérons dans nos croyances ? En quel sens peut-on dire que la vérité est libératrice ? Pourquoi entreprend-on de démontrer ce que l'on sait déjà ? Parler pour faire savoir, parler pour faire croire ? Le passé a-t-il plus de réalité que l'avenir ? Faut-il ne tenir pour vrai que ce qui peut être prouvé ? A chacun selon son travail. Est-il essentiel à la philosophie d'être systématique ? L'idée d'inconscient exclut-elle l'idée de liberté ? La religion n'a-t-elle qu'une fonction de cohésion sociale ? L'inégalité des hommes rend-elle impossible l'égalité des citoyens ? L'exigence morale conduit-elle l'homme au-delà de lui-même ? Aimer son travail, est-ce encore travailler ? Pour quelles raisons devrait-on respecter la nature ? Respecter l'autre, est-ce respecter en lui la personne humaine? Nous avons été enfants avant que d'être hommes… » : Quelles conséquences ? Peut-on dire que tout ce qui est logique est vrai ? En quel sens peut-on parler de beauté morale ? Quels rapports la politique entretient-elle avec la morale ? La balance est-elle le symbole adéquat de la justice ? Ce qui est imprévu était-il imprévisible ? Une pensée cohérente est-elle nécessairement vraie ? L'homme a-t-il le droit d'utiliser sur l'homme tous les pouvoirs que le progrès des sciences et des techniques lui donne ? Le devoir se réduit-il à un ensemble de contraintes sociales ? Qu'est-ce que la jeunesse ? Que signifie l'expression « légitime défense » ? Faut-il reprocher à la philosophie d'être inutile ? L'imagination n'est-elle qu'une mémoire qui ne se contrôle plus ? La guerre est-elle l'essentiel de toute politique ? Pour goûter une oeuvre d'art, faut-il être cultivé ? Quel est ce « je » qui dit « je suis libre » ? Suffit-il d'être informé pour comprendre ? La passion est-elle compatible avec la sagesse ? Avoir le droit pour soi, est-ce être juste ? La passion nous éloigne-t-elle de la réalité ? Peut-on dire que la vérité scientifique constitue une arme contre le fanatisme ? La mort abolit-elle le sens de notre existence ? » ? La mort ôte-t-elle tout sens à l'existence humaine? Quel sens de la vie l'étude scientifique du vivant peut-elle exprimer ? La croyance religieuse est-elle une consolation pour les faibles ? La proposition « nous ne sommes pas libres » contient-elle sa propre réfutation ? L'homme est sujet connaissant. Faut-il laisser une place à l'irrationnel dans la conduite de la vie ? L'examen de l'histoire nous permet-il d'affirmer l'existence du progrès ? Quelle est la valeur de l'esprit mathématique ? Car le verdict d’une vie réussie-si tant est que la chose soit possible- ne peut Un gouvernement peut-il légitimement, dans certaines circonstances, agir à l'encontre des lois ? L'homme ne doit-il pratiquer et défendre la justice que dans la seule crainte de subir les conséquences de l'injustice ? Toute connaissance autre que scientifique doit-elle être considérée comme une illusion ? Quelle relation la conscience entretient-elle avec ses objets ? Ce qui est vrai le restera-t-il toujours ? Châtier, est-ce « faire honneur au criminel » ? Un peuple est-il responsable de son histoire ? L'histoire est-elle le simple récit des faits, tels qu'ils se sont passés ? » Que pensez-vous de ce point de vue critique ? L'esprit scientifique et la foi religieuse sont-ils compatibles ? Peut-on dire que la perception est une connaissance? Peut-on dire que la liberté est d'abord la reconnaissance de la nécessité ? Communiquer et informer, est-ce la même chose ? La notion d'échange n'a-t-elle de sens qu'économique ? La vision peut-elle être le modèle de toute connaissance ? Que signifie l'expression « être maître de ses passions » ? Faut-il respecter en autrui le semblable ou l'être différent de nous ? En quel sens les échanges économiques sont-ils des faits de communication ? Est-il vrai qu'un fait isolé ne réfute pas une loi scientifique ? Que veut-on dire quand on affirme d'une chose qu'elle est belle ? La justice a-t-elle pour but de venger la société et de la protéger du criminel ? En quoi la connaissance de l'histoire est-elle indispensable au citoyen ? La vérité peut-elle engendrer la terreur ? Est-il sensé de chercher un sens à tout ? La référence aux « contraintes économiques » est-elle, dans le gouvernement des hommes, autre chose qu'un alibi ? Le souci de vérité du savant et celui du philosophe s'alimentent-ils à la même source ? L'imagination nous écarte-t-elle du réel ? Les oeuvres d'art ne sont-elles pas d'autant plus admirées qu'elles sont inutiles ? Que vaut le conseil « vivez avec votre temps » ? Peut-on dire que « les hommes aiment tellement la vérité qu'ils voudraient que ce qu'ils aiment soit vrai » ? Avoir une idée et construire un concept, est-ce la même chose ? La science nous livre-t-elle le réel tel qu'il est ? Dieu, s'il existe, est-il tout puissant ? De quoi l'histoire des sciences est-elle l'histoire ? Peut-on se fier au sentiment de liberté ? Les rapports avec autrui visent-ils à supprimer tout secret ? » Qu'en pensez-vous ? La passion fait-elle toujours obstacle à la connaissance de soi ? Le fait de pardonner est-il contraire aux exigences du droit ? Pourquoi peut-on parler d'une « histoire » des sciences ? Peut-on affirmer à la fois que l'homme est libre et que la nature est soumise à des lois ? La pluralité des philosophies est-elle un argument contre la philosophie ? La mort est-elle un problème philosophique ? La liberté est-elle possible en dehors d'un cadre social ? Etudier l'économie, est-ce étudier l'homme ? Si le droit est relatif aux temps et aux lieux, faut-il renoncer à l'idée d'une justice universelle ? Ne doit-on tenir une proposition pour vraie que si elle est contrôlable par l'expérience ? Y a-t-il de bonnes et de mauvaises passions ? Pour quelles raisons faut-il affirmer les droits de l'homme ? Faut-il toujours chercher à ne pas se tromper ? Une société juste est-ce une société sans conflit ? L'oeuvre d'art nous met-elle en présence d'une vérité impossible à atteindre par d'autres voies ? Une existence sans croyance religieuse ou d'une autre nature vous semble-t-elle possible ? L'attitude philosophique peut-elle être définie par la décision de ne jamais croire ? Arthur Schopenhauer. Pour moi une vie réussie est une vie débordante d' activité , une vie que l' on n' a pas eu peur de risquer de la perdre , une vie qui laisse des traces (matérielles ou intellectuelle , ou les deux) derrière elle . La vie a-t-elle un sens si l’on finit par mourir ? Faut-il distinguer une interprétation d'une explication ? La science peut-elle résoudre les problèmes politiques ? Avons-nous le droit de discuter le droit ? La philosophie est-elle une occupation sérieuse ? Dans quelle mesure peut-on affirmer que la conscience n'est pas un donné mais une tâche ? Le travail peut-il être l'expression de la dignité humaine ? En quel sens peut-on dire d'une oeuvre d'art qu'elle est vraie ? Faut-il accorder de l'importance aux mots ? Que désigne-t-on par le qualificatif « scientifique » ? Le doute est-il une manifestation de la liberté de l'esprit ? Au nom de quoi peut-on reprocher à autrui d'être égoïste? La violence peut-elle être un remède à l'injustice ? Y a-t-il nécessairement du religieux dans l'art ? Une passion peut-elle résister au temps ? Les transformations historiques de la société contraignent-elles l'homme à changer les principes selon lesquels il doit diriger son action ? Quand nous reconnaissons qu'autrui dit vrai, notre liberté s'en trouve-t-elle diminuée ? Le sens commun tient volontiers le travail pour une malédiction et la paresse pour un vice. Est-il toujours nécessaire de démontrer pour convaincre ? En quel sens peut-on dire qu'on « expérimente avec sa raison » ? Dans quelle mesure l'art relève-t-il de l'illusion ? La science est-elle un discours sans illusion ? Une vie accomplie, une vie qui a du sens Luc Ferry avait proposé une définition philosophique de la réussite dans un ouvrage paru en 2002 chez Grasset & fasquelle, « qu’est-ce qu’une vie réussie ? Notre rapport au monde est-il essentiellement technique ? Pourquoi dit-on des faits scientifiques qu'ils sont l'objet d'une construction ? La liberté de penser consiste-t-elle à penser n'importe quoi ? La domination de l'homme par l'homme se réduit-elle à l'exploitation du travail ? Affirmer des droits de l'homme universels, est-ce méconnaître la diversité des cultures ? L'ignorance est-elle un obstacle à la liberté ? A quelles conditions le pouvoir de l'Etat est-il légitime ? Toutes les personnes ont-elles droit à un égal respect ? Parler et bavarder. L'idée de travail implique-t-elle celle de production matérielle ? A-t-on le droit de se taire quand on connaît la vérité ? La reconnaissance de la personne peut-elle être indifférente à la juste rétribution du travail ? L'homme se réduit-il à ce que nous en font connaître les sciences humaines ? Le devenir historique n'est-il qu'irrationnalité ? L'usage de la raison suppose-t-il le rejet de toute croyance ? La justice ne peut-elle être définie que comme un idéal ? La cohérence d'un discours est-elle le critère de sa vérité ? Chacun a-t-il le droit de penser ce qu'il veut ? La sagesse consiste-t-elle à ne pas s'engager ? Peut-on dire: « La vie n'est pas belle, les images de la vie sont belles » ? Les luttes et les guerres : effet de la nature des hommes, étape nécessaire de leur devenir historique, effet du hasard… ? Peut-on, au moment où il s'accomplit, avoir conscience de la dimension historique d'un événement ? Que signifie et que vaut l'idée bien connue : « l'histoire est un éternel recommencement » ? Doit-on respecter les choses comme on doit respecter autrui ? Un événement historique est-il toujours imprévisible ? La concentration des pouvoirs est-elle nécessaire à l'autorité de l'Etat ? Autrui m'est-il révélé comme limite à ma liberté ou au contraire comme l'expression d'un autre mode d'être possible ? Pourquoi les hommes éprouvent-ils le besoin de commémorer leur passé ? N'y a-t-il de problèmes que scientifiques ? Un objet technique peut-il devenir une oeuvre d'art ? Nous avons été enfants avant que d'être hommes… » Quelles conséquences ? Quelles significations donnez-vous à l'expression « agir machinalement » ? Que pensez-vous de ce jugement concernant la philosophie : « Sa fonction est de contester, mais son destin est d'être contestée » ? La technique nous éloigne-t-elle de la nature ? ». Faut-il voir dans la compétition le principe du progrès ? Que faut-il penser de cette affirmation : « Nous savons que nous sommes mortels, mais nous ne le croyons pas » ? Pour juger faut-il seulement apprendre à raisonner ? Peut-on réduire le droit à la contrainte sociale ? Qu'en est-il de la création artistique ? La rhétorique est-elle l'art de tromper ? L'unanimité est-elle un critère de vérité ? Y a-t-il contradiction à dire que les connaissances scientifiques sont à la fois relatives et vraies ? Le droit ne fait-il que traduire un rapport de forces ? Se sentir libre implique-t-il qu'on le soit ? Comment expliquez-vous le désir de « remonter aux origines » ? Un objet peut-il être, à la fois, utile et beau ? Et les mots pour le dire arrivent aisément » ? La passion supprime-t-elle la responsabilité ? Faut-il accorder le moins possible à l'Etat ? La connaissance s'interdit-elle tout recours à l'imagination ? La religion peut-elle se définir par sa fonction sociale ? La déraison a-t-elle quelque chose à nous apprendre ? Est-il exact de dire que la propriété est le support naturel de toute liberté ? La connaissance de l'inconscient apporte-t-elle quelque chose d'essentiel à la connaissance de l'homme ? La science peut-elle tenir lieu de sagesse ? Peut-on dire du travail qu'il fait violence à la nature humaine ? » ? La Science permet-elle de tout comprendre ? Nos convictions morales sont-elles le simple reflet des opinions de notre époque ? Quelle certitude les sens nous apportent-ils ? La liberté est-elle une donnée de la nature ou une conquête de l'esprit ? A la question : « Qu'est-ce qu'être normal ?, Freud répondait : « Aimer et travailler. C'est pour moi soit féminin ( dans ce cas je peux comprendre), soit signe de superficialité. Les sciences humaines donnent-elles un pouvoir sur l'homme ? Entre le désordre et l'injustice, faut-il choisir ? Peut-il y avoir un jugement de l'Histoire ? Y a-t-il une identité du moi à travers le temps ? Simple précaution de langage ou modification sensible dans la conception de la science ? J'aimerai avoir un peu d'aide s'il vous plait. Que signifie et que vaut cette formule : « Je vais simplement dire ce que je sais » ? L'histoire peut-elle apporter à l'homme la matière d'une expérience ? Peut-on ne pas faire son devoir moral au nom de la religion ? L'histoire enseigne-t-elle la relativité des valeurs ? La connaissance scientifique abolit-elle toute croyance ? Etre libre, est-ce n'obéir qu'à soi-même ? Mesurer le temps de travail, n'est-ce pas soumettre à la mesure l'homme qui travaille ? Autrui ES Rennes 1981 Peut-on dire qu'il n'y a pas de justice mais seulement Je suis en Terminale et c'est la première fois que je fais de la filosophie, et donc j'ai une dissertation à faire dont le sujet et "qu'est-ce-qu'une vie réussie?". A quel type de vérité nous conduit la réflexion philosophique ? ». Le projet de devenir « maître et possesseur de la nature » a-t-il encore un sens de nos jours ? Est-ce le doute ou la certitude qui constitue l'état d'esprit du savant ? Est-ce le recours à l'expérience qui garantit le caractère scientifique d'une théorie ? Est-il paradoxal de croire en la science ? La notion d'une histoire du présent est-elle contradictoire ? Une société sans droit est-elle concevable ? Dans la connaissance et dans l'action, faut-il toujours se méfier de ses premières impressions ? Comment les notions mathématiques, dépendant de l'esprit, peuvent-elles expliquer un réel qui n'en dépend pas ? Est-il juste de combattre la violence par la violence ? Explication par la genèse et explication par la structure. Prendre soin du langage, n'est-ce que pur conformisme ? Que pensez-vous de cette remarque de Rostand : « La science a fait des hommes des Dieux avant qu'ils ne deviennent des hommes. Peut-on dire d'une conduite humaine qu'elle est insensée ? Y a t-il quelque chose a transmettre ? Croire, est-ce renoncer à faire usage de sa raison ? La liberté et l'égalité sont-elles opposées ou complémentaires ? Le développement des sciences est-il animé par une volonté de vérité ou par une volonté de puissance ? Le progrès scientifique est-il lié à l'évolution des techniques ? Bon, ok, pour l'avion de chasse, je n'en sais rien. Quels droits la compétence donne-t-elle ? Pourquoi a-t-on besoin du temps pour penser ? L'homme aime-t-il la justice pour elle-même ? Le sens de ce que l'on dit se réduit-il à ce que l'on veut dire ? La raison peut-elle être mise au service du mal ? La violence exercée au nom de l'Etat est-elle fondamentalement différente de toutes les autres formes de violence ? Coller en tant que texte brut à la place. Les théories les plus scientifiques sont-elles celles qui font l'usage le plus considérable des mathématiques ? Peut-on dire qu'on n'a jamais raison contre les faits ? Les progrès de la technique sont-ils nécessairement des progrès de la raison ? Les mathématiques ne sont-elles qu'un instrument des autres sciences ? De quel droit un homme en commanderait-il un autre ? Elle est elle-même un problème. Un sage comprend ce qu’est une bonne raison d’agir, parce qu’il comprend ce qui possède une vraie valeur, ce qui est vraiment avantageux dans la vie, et comment bien vivre[12]. Jet d'âme et un rejet, dame ! Pensez-vous que le désir soit le propre de l'homme ? Une société peut-elle se passer de religion ? Dans quelle mesure peut-on distinguer chez l'homme besoins naturels et besoins artificiels ?