Bien qu'elle soit « hors de forme » , elle est alignée lors du relais féminin, Anaïs Bescond étant malade[37]. Le 10 février 2017, elle se place troisième du sprint féminin, devancée par Laura Dahlmeier et Gabriela Koukalová, remportant sa première médaille individuelle en championnat du monde[19]. 26e du sprint, elle termine ensuite 15e de la poursuite et 28e de l'Individuel. Après les Jeux, elle obtient son premier top 10 en individuel en terminant huitième de la poursuite de Kontiolahti. Elle doit déclarer forfait pour les sprints de sélection (22 - 23 novembre) à Lenzerheide, en Suisse, suite à un problème à une épaule, sans gravité. Elle doit repasser par l'IBU Cup lors de la saison 2015-2016 où elle s'impose avec Aristide Bègue sur un relais mixte simple à Ridanna, prenant sur cette étape une deuxième place lors du sprint[7]. Bien lancées dans le relais féminin d'Oberhof, les Bleues ont vu Justine Braisaz-Bouchet manquer son tir debout et permettre à l'Allemagne de s'imposer devant la Biélorussie et la Suède. Parcours sportif Débuts. Je n'ai pas gagné mais c'est presque la même chose. Au cours du mois de janvier elle obtient deux podiums avec le relais féminin à Oberhof et Ruhpolding puis gagne avec le relais mixte à Pokljuka, mais sur le plan individuel elle ne réalise qu'un seul top 10 (5e de la mass-start de Pokljuka). Lors du Championnat de France à Méribel, fin mars, elle se classe 3e de la Mass Start. Lors des Championnats de France disputés à Prémanon en décembre 2013, elle remporte deux titres de Championne de France (Sprint et Poursuite). Une semaine plus tard, lors de la dernière manche de la saison à Khanty-Mansiïsk, elle obtient son premier top 10 avec une quatrième place sur le sprint. S’il n’y a pas de podium aujourd’hui, quatrième, Justine Braisaz-Bouchet tient enfin son premier sans-faute de l’hiver. est ce que anais chevalier et justine braisaz ont le meme mari ( bouchet ) merci Justine Braisaz débute au Club des Sports des Saisies, elle s'oriente rapidement vers la section nordique pour y pratiquer le ski de fond et le biathlon. Justine Braisaz-Bouchet et Antonin Guigonnat lanceront la quinzaine de compétitions à Hochfilzen ce vendredi avec les sprints. Je vous épargne la version longue de pourquoi elle s'appelle désormais Braisaz-Bouchet comme Anaïs Chevalier-Bouchet. Sur le plan individuel, elle obtient une 14e place lors du sprint d'Oberhof. Puis, le 16 décembre lors de l'étape suivante, à Nove Mesto, elle profite des nombreuses erreurs des principales favorites pour se classer deuxième du sprint avec un 10/10 au tir[12], son premier podium en coupe du monde[13]. Justine Braisaz débute au Club des Sports des Saisies, elle s'oriente rapidement vers la section nordique pour y pratiquer le ski de fond et le biathlon. Elle termine ensuite onzième de la poursuite puis obtient un résultat médiocre, 38e, sur l'Individuel. Justine Braisaz débute au Club des Sports des Saisies, elle s'oriente rapidement vers la section nordique pour y pratiquer le ski de fond et le biathlon. Si "JBB" a signé un sans-faute et pouvait donc difficilement espérer … Justine Braisaz-Bouchet et Anaïs Chevalier-Bouchet ont en effet terminé 4eme et 5eme. La dernière modification de cette page a été faite le 31 janvier 2021 à 12:16. Une dynamique de bon augure. La france termine huitième. La grosse déception du jour est à mettre sur le compte de Justine Braisaz-Bouchet (43e, 16/20, +4'05"). Anaïs Chevalier ne participe pas à la saison de coupe du monde 2019-2020 en raison de la naissance de son premier enfant[39]. Elle décroche son premier podium individuel en coupe du monde le 9 décembre 2016 lors du sprint de Pokljuka, où se déroule la deuxième étape, se classant deuxième à 3 secondes de l'allemande Dahlmeier : elle n'a alors que 20 ans[15]. Au Grand-Bornand, lieu de sa première victoire en Coupe du monde deux ans plus tôt, elle monte sur la deuxième marche du podium du sprint le 20 décembre grâce à un sans faute au tir et une solide course à ski, derrière Tiril Eckhoff. Dès le début de la saison 2016-2017, elle participe au circuit de la coupe du monde. Elle s'impose lors d'un sprint à Nove Mesto[8]. Après quatre médailles mondiales, avec la médaille d'argent lors du relais lors de l'édition de 2016, le bronze du sprint et du relais et l'argent du relais mixte lors de l'édition 2017, elle remporte une médaille de bronze olympique sur le relais féminin des Jeux olympiques de 2018 à Pyeongchang. Justine Braisaz termine 26e au classement général de la Coupe du Monde de Biathlon 2018-2019. Cette même année 2014, elle participe aux Championnats d'Europe à Nové Město na Moravě. Lors du relais, l'équipe de France, composée d'Anaïs Chevalier en première position, Marie Dorin-Habert, Justine Braisaz et Anaïs Bescond, prend la troisième place de l'épreuve remportée par la Biélorussie devant la Suède[24]. Elle réussit néanmoins à décrocher la médaille de bronze du relais dames avec Marie Dorin-Habert, Anaïs Bescond et Anaïs Chevalier, malgré deux nouveaux tirs difficiles (trois fautes au couché et trois fautes au debout). Après des débuts en coupe du monde 2017-2018 lors d'un relais mixte terminé à la septième place à Östersund, elle doit attendre l'étape du Grand-Bornand pour terminer de nouveau parmi le top 10, lors de la mass start remportée par Justine Braisaz[22]. Lors de la saison 2011/2012, alors dans la catégorie Cadette (U16), elle remporte la même année le Championnat de France de ski de fond et le Championnat de France de biathlon, grâce notamment à sa vitesse à ski. Elle commence mal les championnats du monde à Östersund en terminant 60e du sprint, alors qu'elle remplaçait[19] Anaïs Bescond, malade lors de la compétition. Lors de l'étape suivante à Oberhof, elle participe avec Anaïs Bescond, Célia Aymonier et Justine Braisaz à la victoire de l'équipe de France lors du relais[23]. Les Championnats de France d'été qui se déroulent à Prémanon (15-16 septembre) puis Arçon (19-20 octobre) sont l'occasion de la voir à son avantage. Avec le relais féminin, elle remporte la médaille d'argent, avec Justine Braisaz, Anaïs Bescond et Marie Dorin-Habert, les Françaises étant battues par les Norvégiennes[10]. Grâce à son premier 10 sur 10 de la saison, la Française a manqué de peu son premier podium de l’année. 32e du sprint, elle ne s'aligne pas sur la poursuite puis termine 49e de l'individuelle. Elle est mariée depuis septembre 2017 à Martin Bouchet, entraîneur de biathlon[43]. Røiseland et Oeberg, toujours dans le coup seront présentes. Elle est étudiante à l'Université Grenoble-Alpes[24]. Ayant également marqué des points dans l'individuel 15 km (huitième), elle prend pour la première fois le maillot jaune de leader du classement général de la Coupe du monde[16]. Au début de l'année suivante, elle remporte un podium lors de l'épreuve de relais mixte d'Oberhof avec Justine Braisaz-Bouchet, Fabien Claude et Quentin Fillon Maillet[42]. Lors de la saison 2011/2012, alors dans la catégorie Cadette (U16), elle remporte la même année le Championnat de France de ski de fond et le Championnat de France de biathlon, grâce notamment à sa vitesse à ski. Elle obtient sa première victoire en Coupe du monde le 17 décembre 2017 à l'arrivée de la mass start du Grand Bornand. C'est en relais qu'elle obtient ses premiers podiums, troisième en 2011-2012 avec le relais féminin et troisième la saison suivante lors d'un relais mixte avec Jacquemine Baud, Baptiste Jouty et Antonin Guigonnat. Elle est la meilleure française du début de la saison 2018-2019, avec notamment trois podiums consécutifs à Nové Město na Moravě (troisième de la mass start[30]), puis à Oberhof (deuxième du sprint et troisième de la poursuite[31]) et plusieurs arrivées dans le Top 10, ce qui lui vaut en janvier de figurer à la quatrième place du classement général de la coupe du monde[32]. Une course aboutie pour la Savoyarde. Elle termine la saison, privée de l'étape d'Oslo qui est annulée pour raison sanitaire, à la 9e place du classement général, signant son retour dans le top 10 mondial après deux années difficiles. Revivez dans les conditions du direct le relais mixte d'Oberhof (4x6km), avec Anaïs Chevalier-Bouchet, Justine Braisaz-Bouchet, Fabien Claude et Quentin Fillon Maillet pour représenter la France. Julia Simon 24. Avec sa 4e place, Justine Braisaz-Bouchet, auteure d'un 10/10 à la carabine, réalise de son côté son meilleur résultat de la saison juste devant Anaïs Chevalier-Bouchet (5e), qui aurait pu jouer la victoire sans une faute à son tir debout. Son début de saison est prometteur : sur le plan individuel, elle enchaîne les top 10 et arrive à Rupholding (2e étape de janvier) en étant 4e au classement général. Lors des épreuves des Jeux olympiques de Pyeongchang, elle termine 16e du sprint, 24e de la poursuite, 28e de l'Individuel et 29e de la mass start. Elle bat ainsi un nouveau record de précocité en devenant la plus jeune athlète alignée sur une mass start à seulement 18 ans et 5 mois[8]. Lors de cette saison, elle participe aux championnats d'Europe 2013 à Bansko où elle remporte deux titres, sur l'Individuel[1] et le relais mixte, où elle associée à Floriane Parisse, Mathieu Legrand et Quentin Fillon Maillet[2], et une médaille de bronze lors de la poursuite après une neuvième place du sprint. Lors du relais disputé sur ce site, l'Allemagne devance la France où Anaïs Chevalier est associée à Braisaz, Bescond et Dorin-Habert[17]. Elle participe d'abord au circuit de l'IBU Cup, antichambre de la coupe du monde, disputant sa première course à Annecy en fin de saison 2010-2011. Lors de l'étape suivante à Ruhpolding, elle obtient un nouveau podium en emportant le relais féminin, l'équipe française étant également composée de Julia Simon, Anaïs Bescond, Justine Braisaz[33]. Au niveau individuel, son meilleur résultat est une douzième place sur la mass-start. Parcours sportif Débuts. Lors des Championnats de France 2016 de Biathlon à Méribel, elle décroche le titre de Championne de France de Mass Start dans sa catégorie U21. Sa progression est telle qu'elle parvient à rivaliser avec les meilleures françaises sur les épreuves estivales du Biathlon Summer Tour. Anaïs Bescond (dossard 50) partira elle en plein milieu de tableau quand Caroline Colombo fermera quasiment la course avec son dossard 96. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Elle est issue du club des sports des Saisies (station olympique de 1992). Elle y termine 47e puis 44e du sprint et de la poursuite. Elle est alignée en première position lors du relais mixte, première épreuve des mondiaux d'Östersund, devant Julia Simon, Quentin Fillon Maillet et Martin Fourcade, la France avec un total de quinze fautes au tir terminant huitième[36]. Le 13 mars 2015, lors des Championnats du monde à Kontiolahti en Finlande, elle décroche sa première médaille, l'argent, à l'occasion du relais 4 × 6 kilomètres féminin avec Anaïs Bescond, Enora Latuillière et Marie Dorin-Habert[10]. 14h35: Justine Braisaz est la prreière française à prendre le départ. Elle se classe 12e à l'individuel, 18e en sprint, 14e en poursuite et 8e du relais mixte avec Chloé Chevalier, Dany Chavoutier et Clément Dumont.Toujours en 2014, elle participe à l'épreuve de Ridnaun, comptant pour la saison 2013-2014 de l'IBU Cup. Lors de la saison 2012/2013, alors qu'elle n'est que dans la première année de la catégorie, Justine Braisaz est sélectionnée pour les Championnats du monde junior en 2013 à Obertilliach en Autriche. La reprise de la Coupe du Monde s'effectue à Konthiolathi, en Finlande. Lors de cette étape, elle tombe malade et déclare forfait pour le sprint et le relais. Propos recueillis par la chaîne l’Équipe et la FFS : « Je suis à la place du con. Une semaine plus tard, elle améliore sa meilleure performance en terminant 14e du sprint de Pokljuka[7] et parvient à se qualifier pour la mass start, réservée aux 30 meilleures biathlètes du moment. En novembre 2016, elle remporte le sprint du Sesongstart de Sjusjøen, compétition de sélections norvégiennes, devant Tiril Eckhoff et Julia Dzhyma[14]. À Kontiolahti, elle remporte le relais mixte simple avec Antonin Guigonnat[25]. En mai 2019, elle annonce qu'elle et son mari attendent leur premier enfant[44]. En mai 2017, elle est victime d'un accident, renversée par une voiture alors qu'elle s'entrainait en vélo. L'année suivante, elle est surclassée dans la catégorie supérieure lors des Championnats du monde juniors à Presque Isle (États-Unis), elle se classe 29e à l'individuel, 5e en sprint[1], 15e en poursuite et 6e en relais avec pour partenaires Coline Varcin et Chloé Chevalier. Elle fait ses débuts en coupe du monde lors de la saison 2013-2014. Bien lancées dans le relais féminin d'Oberhof, les Bleues ont vu Justine Braisaz-Bouchet manquer son tir debout et permettre à l'Allemagne de s'imposer devant la Biélorussie et la Suède. Elle se classe 17e en sprint[5], devenant la plus jeune athlète intégrant le top 20 mondial. Au cours d'une saison 2018-2019 où elle ne connaît pas la réussite, elle parvient le 12 mars à s'adjuger sa première médaille mondiale individuelle en prenant le bronze de l'individuel 15 km. Julien Bouchet, son entraîneur du Comité de Savoie, observe qu’elle « émet beaucoup de réserve sur ses capacités, c’est une façon de se protéger.Elle est attentive à ne pas écraser les autres et ne cherche pas le leadership.Ce n’est pas sa façon de fonctionner. Lors des Championnats de France à Bessans, elle remporte la Mass Start et est titrée deux fois lors de la même course : en catégorie Senior et en catégorie U21. Elle monte pour la première fois de sa carrière sur un podium de Coupe du monde à l'occasion du relais d'Oberhof le 7 janvier 2015, se classant 2e avec ses coéquipières Marine Bolliet, Marie Dorin-Habert, et Anaïs Bescond[9]. Avec sa 4e position, Justine Braisaz-Bouchet, auteure d'un 10/10 à la carabine, réalise de son côté son meilleur résultat de la saison juste devant Anaïs Chevalier-Bouchet (5e), qui aurait pu jouer la victoire sans une faute à son tir debout. Au début de la saison 2014-2015, elle fait partie du relais mixte victorieux à Östersund, composé d'Anaïs Bescond et des frères Simon et Martin Fourcade[5]. Justine Braisaz s'adjuge la première victoire de sa carrière en Coupe du monde le 17 décembre 2017, à l'arrivée de la mass start du Grand Bornand[17] et signe aussi la première victoire française de cette étape (Annecy-Le Grand Bornand) depuis son intégration au circuit de la Coupe du Monde. Elle est membre de l'équipe de France de biathlon. Choisie pour participer au relais, elle voit sa coéquipière Marie-Laure Brunet, première relayeuse française, abandonner en raison d'un malaise après le premier tir[4]. « C’est une belle craquante, c’est comme ça, ça arrive. Au début de l'année suivante, elle remporte un podium lors de l'épreuve de relais mixte d'Oberhof avec Justine Braisaz fait ses débuts en Coupe du monde le 12 décembre 2014 à Hochfilzen. Ce premier podium international lui ouvre les portes de la Coupe du Monde de Biathlon, malgré son jeune âge. Initialement première remplaçante, elle profite du forfait de Justine Braisaz pour prendre le départ à la mass start du lendemain[26] où elle prend la troisième place devancée par Vanessa Hinz et Lisa Vittozzi[27]. Elle ajoute deux podiums à son palmarès lors de l'étape finale d'Oslo Holmenkollen, en mars 2017, où elle termine 2e du sprint et 3e de la poursuite. Les premiers Jeux olympiques de Justine Braisaz à Pyeongchang en 2018 sont un échec individuel. Grosse déception pour Justine Braisaz-Bouchet. Lors de la saison 2011/2012, alors dans la catégorie Cadette (U16), elle remporte la même année le Championnat de France de ski de fond et le Championnat de France de biathlon, grâce notamment à sa vitesse à ski. Lors de la saison 2018-2019, en dehors d'un podium dans la deuxième course de l'hiver (3e du sprint de Pokljuka le 8 décembre), Justine Braisaz ne parvient que deux fois a atteindre le top 10 d'une épreuve individuelle (8e de la mass start de Nové Město na Moravě le 23 décembre, 7e ex-æquo avec Anaïs Chevalier du sprint de Rupholding, le 17 janvier). S’il n’y a pas de podium aujourd’hui, quatrième, Justine Braisaz-Bouchet tient enfin son premier sans-faute de l’hiver. BIATHLON. Le 12 mars, elle remporte sa première médaille dans un grand événement en dehors des relais en se classant troisième de l'individuel 15 km, grâce à tir à 19/20 et un bon temps à ski (le 6e) qui lui permet de devancer Laura Dahlmeier (une faute au tir comme elle), pour accompagner Hanna Öberg et Lisa Vittozzi (toutes deux sans-faute) sur le podium[20]. », Décret du 11 avril 2018 portant nomination, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Justine_Braisaz&oldid=179159343, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. ... Elle apparait sous le nom Braisaz-Bouchet sur la liste de départ de l'indiv de Kontiolahti. Anaïs Chevalier, née le 12 février 1993 à Saint-Martin-d'Hères (Isère), est une biathlète française actuellement en activité. Elle obtient ensuite deux nouveaux podiums dans des épreuves de relais, une troisième place lors du relais féminin de Canmore[34] et la victoire lors du relais mixte de Soldier Hollow, la France composée de Quentin Fillon Maillet, Simon Desthieux,Célia Aymonier et Anaïs Chevalier[35]. Blessée au dos, elle doit mettre un terme à sa saison[6]. Justine Braisaz-Bouchet a confirmé ses progrès récents en tir, en accomplissant un sans-faute derrière la carabine - son premier cette saison - lors du sprint d'Oberhof, jeudi. Justine Braisaz-Bouchet (44e de l'individuel de Kontiolahti) : « Malheureusement, le deuxième et le troisième tir me sortent de la course. Chloé Chevalier 21. La dernière modification de cette page a été faite le 24 janvier 2021 à 15:16. Sa deuxième victoire en Coupe du monde est obtenue avec un 18 sur 20 au tir et le troisième meilleur temps à ski ; elle devance Yuliia Dzhima qui a réalisé le 20 sur 20, alors que Julia Simon l'accompagne sur le podium au troisième rang, avec elle aussi deux erreurs au tir[23]. Justine Braisaz-Bouchet, geb.Justine Braisaz (* 4.Juli 1996 in Albertville) ist eine französische Biathletin.. Braisaz-Bouchet debütierte 2014 im Weltcup und gewann dort 2017 ihr erstes Rennen. Dossards des françaises : 8. Après avoir effectué une carrière encourageante en Jeune et en Junior (vice-championne du monde jeune de sprint et de poursuite en 2011 puis vice-championne du monde junior de sprint en 2012), elle intègre l'équipe de France de biathlon. Elle est de nouveau sélectionnée pour des relais lors des étapes suivantes, les Françaises se classant cinquième à Annecy et Ruhpolding. Elle conclura la saison avec une dixième place sur la poursuite[12] qui lui permet de finir sa deuxième saison de coupe du monde à la 21ème du classement général[13]. Elle remporte la médaille de bronze en relais féminin avec Marie Dorin-Habert, Anaïs Chevalier et Anaïs Bescond lors des Jeux olympiques de PyeongChang. De son côté, Anaïs Chevalier-Bouchet a commis sept fautes et n'a pu faire mieux que 21eme, à 2'16 d'Eckhoff. Pour la saison 2014/2015, elle intègre l'équipe de France jeune / junior de Biathlon. Lors des Championnats de France à Arçon (14-15 septembre), elle se classe 7e du Super Sprint et 4e de la Poursuite puis, lors de la 2e session des 20 et 21 octobre, 1ère du Sprint et 2e de la Poursuite. Justine Braisaz, née le 4 juillet 1996 à Albertville, est une biathlète française. bonjour . Since 2014-2015. Justine Braisaz, termine à la 17e place du classement général de la Coupe du Monde de biathlon 2017-2018. Justine Braisaz-Bouchet ne s'en est … Le 31 août, elle participe à la première édition du Martin Fourcade Nordic Festival à Annecy et se classe 3e de la Mass Start derrière les Italiennes Lisa Vittozzi et Dorothea Wierer. Lors de la phase de préparation pour la saison 2018-2019, elle conserve la confiance des entraineurs et figure dans l'équipe de France A de biathlon accompagnée d'Anaïs Chevalier et d'Anaïs Bescond. Lors du relais, elle s'empare avec Célia Aymonier, Justine Braisaz et Marie Dorin-Habert de la médaille de bronze[20]. 27e de sa première course, un sprint à Hochfilzen, elle obtient un podium dès sa course suivante avec une troisième place avec le relais féminin composé de Marie-Laure Brunet, Sophie Boilley et Anaïs Bescond[3]. Une course aboutie pour la Savoyarde. Elle continue d'enchainer les bons résultats terminant respectivement quatrième puis neuvième du sprint et de la poursuite d'Oberhof, puis huitième d'une poursuite à Ruhpolding où elle obtient un deuxième place avec Justine Braisaz, Anaïs Bescond et Célia Aymonier[15]. La meilleure française du jour est donc Justine Braisaz-Bouchet. Pour son retour à la compétition, elle remporte deux titres de championne de France, le sprint puis la poursuite, en octobre 2020[40]. L'équipe française prend la deuxième place derrière l'Allemagne et devant la Russie[18]. Pour la dernière course de la saison de coupe du monde à Tyumen, elle obtient la troisième place de mass start[29]. Décret du 11 avril 2018 portant nomination, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Anaïs_Chevalier&oldid=179416570, Biathlète (femme) aux Jeux olympiques d'hiver de 2014, Biathlète (femme) aux Jeux olympiques d'hiver de 2018, Médaillée aux Jeux olympiques d'hiver de 2018, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, Page pointant vers des bases relatives au sport, Portail:Auvergne-Rhône-Alpes/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Première relayeuse, elle occupe la première place à l'issue du premier relais où elle ne concède qu'une seule pioche au tir. Elle dispute également les courses sur les étapes nord-américaines de Canmore et Presque Isle. Elle est étudiante en STAPS à l'Université Grenoble-Alpes[47]. A Östersund, première étape de la Coupe du monde 2019-2020, après avoir terminé au delà de la 80e place dans le sprint, Justine Braisaz remporte l'individuel 15 km disputé le 5 décembre 2019. Elle commence la saison 2017-2018 avec deux podiums à Östersund en sprint et en poursuite, les deux fois deuxième derrière Denise Herrmann. Neuvième puis douzième des deux premières courses de la saison de coupe du monde 2020-2021, à Kontiolahti, elle termine, la semaine suivante, deuxième sur ce même site d'un sprint derrière la Suédoise Hanna Oeberg[41]. Grâce à ses bons résultats, Justine Braisaz se hisse à la 6e place du classement général de la Coupe du Monde de Biathlon 2016-2017. Elle s'oriente l'année suivante vers le biathlon lors de sa première année dans la catégorie Jeune (U19). Elle met au monde une petite fille prénommée Emie, le 28 octobre 2019[45]. Elle monte quatre fois sur le podium et garde son titre de Championne de France sur le Sprint. En effet Julia Simon, dossard 21, Anaïs Chevalier-Bouchet, dossard 24, et Justine Braisaz-Bouchet, dossard 28, partiront tôt et groupées. Elle remporte le 7 janvier 2018, le relais 4 × 6 km à Oberhof avec Anaïs Bescond, Anaïs Chevalier et Célia Aymonier le premier succès des françaises dans la discipline depuis deux ans[18]. Elle participe à la Mass Start avec le dossard rouge (leader du classement de la Mass Start) et termine 27e avec 6 fautes au tir. Justine Braisaz-Bouchet (9e de la mass start d'Oberhof) : « Je suis vraiment contente pour Julia. En février à Anthloz, pour la première fois depuis ses débuts en Coupe du monde, elle n'obtient aucune médaille aux Championnats du monde. Le tir debout de Justine Braisaz-Bouchet a plombé la France sur le relais féminin d'Oberhof. Elle est alors sélectionnée pour les mondiaux d'Oslo. Anaïs Chevalier ne s'aligne pas sur la dernière course des mondiaux, la mass start, et décide de mettre un terme à sa saison[38]. Elle renonce alors à participer à la poursuite[20]. La veille, elle s'était classée à la 10e place de l'épreuve du sprint[4]. International Biathlon Union - Cups Standings, Dernière modification le 24 janvier 2021, à 15:16, Sprint Juniors : Justine Braisaz et Chloé Chevalier brillent à Presque Isle, Justine Braisaz, seconde du sprint à Beitøstolen, IBU Cup : à Beitøstolen, Justine Braisaz dans le top 10, A Hochfilzen, Anaïs Bescond, Justine Braisaz, Enora Latuillière et Marine Bolliet entrent dans le top 20, Coupe du monde - Hochfilzen - relais dames: l'Allemagne s'impose, les Françaises seulement neuvième, La France en argent sur le relais 4x6 kilomètres féminin, Une nouvelle médaille pour Marie Dorin-Habert et le relais français, « JO d’hiver 2018 : qui sont les lycéens et les étudiants français en lice ? Re : Justine BRAISAZ. Lors de la première étape de la saison 2014-2015 de l'IBU Cup, à Beitostølen, Justine Braisaz s'offre son premier podium avec une deuxième place lors du second sprint[2],[3]. La Norvégienne Marte Olsbu Roeiseland conserve son dossard jaune de leader de la Coupe du monde. Elle retrouve la coupe du monde, disputant les étapes de Ruhpolding, Antholz, où elle participe à la victoire du relais féminin avec Justine Braisaz, Anaïs Bescond et Marie Dorin-Habert, première victoire d'un relais féminin depuis janvier 2012[9]. Lors de l'étape suivante à Antholz, elle termine deuxième de l'Individuel derrière Laura Dahlmeier[16]. Lors de la poursuite le lendemain, elle s'impose pour la première fois de sa carrière en coupe du monde, grâce à un 19/20 au tir, devançant d'une dizaine de secondes Dorothea Wierer[14]. En mars, elle effectue une bonne étape à Nove Mesto, avec notamment une seconde place en relais et une quatrième place sur la mass-start. J’ai fait une course au meilleur … Nachdem sie von 2015 bis 2017 dreimal in Folge mit der französischen Staffel auf dem Podium der Weltmeisterschaften gestanden hatte, holte sie 2019 mit einem dritten Rang im 15-Kilometer-Rennen … Après la course, la biathlète tricolore a expliqué sa mauvaise passe et … Elle est sélectionnée pour les Jeux olympiques 2014 à Sotchi. Elle déclare également forfait pour les étapes d'Oslo Holmenkollen et de Tioumen et met un terme à sa saison de Coupe du monde. En juillet, elle remporte la finale du Super Sprint du Blinkfestival en Norvège et se classe 7e de la finale de la Mass Start. Cependant Julia Simon compte une 3e place sur la poursuite d’Hochfilzen en décembre et a plusieurs fois réussi des remontées spectaculaires. Lors de l'étape d'Oslo, où Marie Dorin-Habert fait ses adieux à la compétition, elle participe à la victoire de l'équipe de France avec Célia Aymonier, Anaïs Bescond et Marie Dorin-Habert qui remporte donc sa dernière victoire[28]. En mars, elle monte sur la deuxième marche des Championnats de France de mass start derrière Julie Cardon. Lors de la phase de préparation pour la saison 2019-2020, elle figure à nouveau dans l'équipe de France A de biathlon, en compagnie d'Anaïs Chevalier (qui ne participera à la saison de Coupe du Monde en raison de la naissance de son premier enfant[22]), d'Anaïs Bescond, de Julia Simon et de Célia Aymonier. Ce même week-end, elle court le relais (par comité) avec sa sœur, biathlète de haut-niveau, elle aussi[21]. Grand espoir de l'équipe de France et chance de médaille aux prochains JO d'hiver, Justine Braisaz, 21 ans, se confie à L'Express avant le début de sa saison. En s'imposant face à Gabriela Koukalova, Marie Dorin-Habert prend la troisième place[20]. Pour sa première course des championnats du monde à Hochfilzen, Anaïs Chevalier est sélectionnée pour le relais mixte avec Martin Fourcade, Quentin Fillon Maillet et Marie Dorin-Habert. Elle se classe 46e à l'individuel et 71e en sprint. Cette course marque le début d'une période de méforme mettant un coup d'arrêt à sa fulgurante progression. En 2016, elle se rend au Népal et participe à une mission humanitaire[25]. Lors des Championnats de France de biathlon à La Féclaz, elle remporte le titre en relais en compagnie de Julia Simon et Marine Bolliet. Justine Braisaz-Bouchet a elle réussi deux remontées de 27 places. À Pokljuka, le 11 décembre lors de la deuxième étape, elle prend la deuxième place du relais féminin avec l'équipe de France également composée de Justine Braisaz, Célia Aymonier et Marie Dorin-Habert[11]. Elle termine 52e du sprint puis déclare forfait pour le reste de l'étape suite à un nouveau problème de santé. Notamment en difficulté au tir — 25 fautes sur cinq courses —, elle réalise comme meilleur résultat une dixième place sur le sprint. L'année suivante, lors des championnats du monde à Oslo, elle remporte une nouvelle médaille d'argent lors de la même épreuve en compagnie d'Anaïs Bescond, Anaïs Chevalier et Marie Dorin-Habert[11]. Le lendemain, elle se classe 9e du relais avec Marine Bolliet, Enora Latuillière et Anaïs Bescond comme coéquipières[6].