à l'origine un mélange d'ethnies. Esclavage : Les sociétés Soninkés en Mauritanie, Mali, Sénégal et Gambie. En 2013, selon certaines estimations, pas moins de 250 000 personnes vivaient dans des conditions proches de l'esclavage au Mali… L'esclave, c'est comme les griots, les cordonniers, les forgerons,. La dernière modification de cette page a été faite le 10 novembre 2020 à 19:49. >> LIRE NOTRE ARTICLE COMPLET SUR LE SUJET : Au Mali, un homme malmené et ligoté en public pour s'être opposé à l'esclavage On est maître de l’esclave, mais pas du sac qu’il porte. Or, l’esclavage sous toutes ses formes a … Comment ajouter mes sources ? Tout le monde a l’air de trouver ça normal. Au mali d'après certains noms de famille, il est possible de définir le caste. Pourtant, elle vient d’une ethnie esclavagiste (Soninké), d’un coin du Mali où se pratique encore ce fléau comme en témoigne l’article ci-dessous, qui parle en particulier de la grande ville de Kayes. Ils sont nobles et de même rang que les tooroɓɓe (Au Fouta Toro, au moins). Les Esclaves sont issues d’autres castes donc Esclaves ne peut pas constituer une caste. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les patronymes les plus fréquents chez les Horon sont Traoré, Keïta, Diallo, Diarra , Sidibé, Sangaré, Cissé, Bathily, Sanogo, Touré. Selon la tradition orale, la société est divisée en 30 clans ou familles fondés sur l’appartenance à un ancêtre commun : les hommes libres, les griots, les marabouts, les artisans, les forgerons, etc[2]. Les caractéristiques des systèmes de castes en Afrique varient selon les groupes ethniques. Toutefois, il est très mal vu pour un horon (noble) de devenir chanteur, métier réservé aux djeli. Ce sont des Hommes de caste qui ont chacun un rôle socialement défini. Opposés au système des castes, les membres de la confrérie soufie Layeniyya au Sénégal prennent tous « Laye » comme nom pour ne pas avoir à recourir à leur patronyme, qui trahirait leur caste. Les limitations au respect des obligations de l’islam édictées aux descendants d’esclaves ou bien l’exclusion matrimoniale qui les transforment en « quasi caste » ne peuvent s’expliquer qu’en mettant en rapport les énoncés attribuant une « infidélité permanente » (Scheele 2012) et … Eh bien non, ce n’est pas normal… Ces Gens ne pourront se … L’esclavage a atteint son paroxysme à Diadjoumé, village situé dans la commune rurale de Gogui, cercle de Nioro du Sahel. According to the National Statistics Directorate of Mali, nomadic and sedentary groups in Mali’s three northern regions (Timbuktu, Gao and Kidal) form about 10% of the country’s population. Les djons sont parfois vus comme les esclaves des horons[4]. « Je ne suis pas votre esclave ». Ils habitent souvent à l'écart du village. 5-2- Komo xobonto (esclaves achetés) Mais historiquement, chaque patronyme correspondait à un groupe. Il existe trois grandes catégories sociales : Traditionnellement, les Inhadhen sont classifiés essentiellement suivant leur savoir-faire technique et la tribu ou fraction à laquelle ils sont rattachés. Cependant, chez certains Soninkés du Mali et de Mauritanie, les descendants d'esclaves continuent toujours seuls à effectuer les tâches culinaires ; alors que, semble- t-il, du côté des Sénégalais, les jeunes commencent déjà à mettre en cause le nouveau principe de séniorité face à la corvée de cuisine. Des images partagées sur les réseaux sociaux Chacune des classes sociales, articulées selon leurs fonctions sociales spécifiques, se fréquentent et se mêlent au quotidien, unies dans des relations de plaisanterie codées[réf. Le royaume du Tekrour, fondé au IXe siècle, entre la vallée du Sénégal et le Fouta-Toro, est à peu près contemporain de l'empire du Ghana à son apogée[1]. De nos jours, tous les patronymes se retrouvent dans toutes les castes, à l'exception des Kouyaté, qui sont généralement griots, des Kanté souvent forgerons. 5-1-Komo reganto (esclaves capturés) Ils étaient, selon A. K. Tandian, des hommes libres qui ont été réduits à l’esclavage à la suite d’une capture. Dans le but de sauvegarder la pureté sanguine (yéréwoloya), le mariage avec des castés leur est formellement interdit. Les Massalen (les nobles), notamment descendants de Soundiata Keïta. Les systèmes de castes en Afrique reposent le plus souvent sur l’endogamie, le statut hiérarchique, des emplois hérités[4] (castes de forgerons, tisserands, griots…), l’appartenance à la naissance et les contraintes imposées en matière de commensalité. Ce système de castes est aussi plus complexe et d'un abord plus difficile pour le regard extérieur que celles que l'on peut observer dans d'autres communautés, comme les communautés touaregs ou maures. Inaden (Inhadan) (sg. A l'exception de quelques ethnies du Sud, il se pratique encore dans quasiment toutes les communautés. Si la société touarègue est hiérarchisée, sa structure ne s'apparente pas aux hiérarchies figées occidentales. Très controversé, le système des castes au Mali n'a rien à … Nobles, griots, forgerons et esclaves, les castes africaines nourrissent, dans l'Ouest du continent, de séculaires incompatibilités maritales. Selon eux, la caste inférieure dite des "esclaves" tente de s'organiser pour lutter contre leurs "maîtres" et ne plus rester au ban de la société. Dans les villes, il existe deux grandes classes sociales, qui ont toutefois tendance à disparaître : - Les nobles ou rimɓe, la plupart de patronymes Kâ-Sow-Bâ: Dans le Fouta Toro, les rimɓe (sing. Les Peuls ou les Toucouleurs (treize castes réparties en trois classes) sont parmi les ethnies les plus segmentées. Des dizaines d’ethnies sont encore organisées en castes : parmi elles, les Mandingues, les Soninké, les Wolofs, les Peuls, les Toucouleurs, les Songhaï, les Sénéfous, les Dogons, les Touaregs et les Maures, présents principalement au Mali, au Sénégal, en Guinée, au Burkina Faso, en Mauritanie, en Gambie, en Guinée-Bissau, en Côte d'Ivoire (nord), au Cameroun (extrême-nord) et au Sierra Leone . Dans notre émission, nos Observateurs Diaguily Maro Kanouté et Sekhou Traoré dénoncent une tradition ancienne d’asservissement d’une partie de la population dans cette région sahélienne du Mali. Ils se divisent entre : les djons ou dyons (les captifs réduits à l'esclavage), prisonniers de guerre, ou capturés lors des luttes entre territoires ou tribus. En quoi le sang d’un noble ne doit pas se mélanger à celui d’un d’esclave, ou d’homme de caste ? EN UN certain moment de l’histoire certains sont parvenus à dominer d’autres dans des contextes bien pas toujours honorables et honnêtes. Chacune des classes sociales, articulées selon leurs fonctions sociales spécifiques, se fréquentent et se mêlent au quotidien, unies dans des relations de plaisanterie codées, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Castes_en_Afrique&oldid=176455586, Article manquant de références depuis septembre 2020, Article manquant de références/Liste complète, Article manquant de références depuis février 2018, Article avec une section vide ou incomplète, Portail:Sciences humaines et sociales/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, Les Peuls (Yallalbés, Saibobés et Deniyankobes) qui étaient les rois du Fouta ils ont régné sur tous le fouta de Satigue Tenguélla a Awdy Samba Dondé. Les jiyaaɓe, en bas de l'échelle sociale, ne peuvent se marier avec aucune autre caste... L'ensemble comporte de nombreux homonymes suivant les parlers locaux ainsi que des articulations intercastes, mais relèvent toujours des mêmes distinctions sociales. La dernière modification de cette page a été faite le 13 septembre 2020 à 21:52. Les castes au Mali, comme dans beaucoup de sociétés d'Afrique de l'ouest (Guinée, Sénégal, Burkina...), correspondent à une stratification sociale encore actuelle dont l'origine remonte à l'Empire du Mali. Presque partout en Afrique de l'ouest, le statut général et la vie quotidienne du forgeron présentent des caractères spécifiques comparés à ceux des autres travailleurs ; ils forment généralement des groupes sociaux endogames[8]. Chaque caste a ses propres fonctions mais les différences entre castes tendent à s'estomper, tout particulièrement au niveau des métiers exercés. Ces trois castes sont appelées Horon par opposition aux castes des Nyamakalan. Ces derniers sont, à leur tour, subdivisés en 2 groupes : les Horon et les Nyamakalan. Je ne sais pas si c'est le cas pour les autres pays soninké Au Fouta-Toro (région peule du Nord du Sénégal), il est porté par les castes suivantes : torobé (classe islamisée d'origines variées), guerriers et leurs femmes potières, pêcheurs. Dans ces quatre pays, la société est fondée sur le système des castes repartis entre quatre catégories de castes définis parfois par le nom de famille qui situe la personne de quel rang social elle se trouve. Quand on entend « caste » on pense souvent à l’Inde alors que le système de castes est ancré dans les traditions africaines. Chez les Zharma-Songhaï, le système de caste est resté particulièrement prégnant, rendant les mariages entre noble et « homme de caste » presque impossibles. Les Komo étaient chargés d’exécuter les tâches les plus difficiles de leur maître et ils pouvaient à tout moment faire l’objet d’une vente. Tout le monde peut être torobes comme exemple un, sa structure ne s'apparente pas aux hiérarchies figées occidentales. Efectivement,le mali a besoin des gens comme lui. " La problématique des castes au Sénégal ". Selon eux, la caste inférieure dite des « esclaves » tente de s’organiser pour lutter contre leurs « … Le terme dimo désigne bien "noble". Les Nyamakalan (les griots, forgerons, cordonniers, bûcherons, etc.) Aujourd'hui, le pouvoir est souvent entre leurs mains (pouvoirs politique, économique, religieux). Dans nos villages, il y a d'enfants dont leur père est soit un noble, soit un homme de caste ou esclave, l'enfant qui ne sera JAMAIS RECONNU par son père biologique. Non è possibile visualizzare una descrizione perché il sito non lo consente. L'esclavage a été officiellement aboli au Mali en 1905, pendant la période coloniale, et la Constitution malienne déclare que tous les Maliens naissent libres et égaux. A Diadjoumé comme toutes les localités soninkés, la discrimination ethnique, l’esclavage sont des pratiques courantes en ce 21 ème siècle. L’esclavage a été officiellement aboli au Mali en 1905, […] Les castes en Afrique sont une forme de stratification sociale que l’on retrouve dans plusieurs groupes ethniques en Afrique de l'Ouest et au Sahel.. Les caractéristiques des systèmes de castes en Afrique varient selon les groupes ethniques. Si vous êtes originaire du Sénégal ou du Mali par exemple, le système des castes ne doit pas vous être inconnu : un tel ne peut pas se marier avec un tel car lui c’est un noble et elle une esclave et vice versa. dimo) comprennent les castes suivantes : Durnooɓe qui signifie qui "font paître" n'est pas en soi une caste. Les différences entre castes tendent à s'estomper avec le temps, tout particulièrement en ce qui concerne les métiers exercés. Aussi, ils sont rares entre les tooroɓɓe et subalɓe... Les mariages sont possibles et normaux entre les 4 premières castes des ñeeñɓe, entre les awluɓe et les wammbaaɓe aussi. Soit tu accepte ta condition d’esclave, ta condition de niamakala, c’est-à-dire ta condition d’homme de caste inférieure ou alors tu es banni, isolé et méprisé par la Société. Les Garankés sont, à l'origine, des maroquiniers, bottiers, cordonniers. Il arrivait parfois que des hommes ou femmes, poussés par leur extrême pauvreté se proposent d'être captifs, afin d'avoir l'assurance d'être nourris et logés. Une conception qui a résisté au temps. Esclave n’a jamais été caste. Artticle20 : Ne maltraitez-pas les esclaves, accorde-leur un jour de repos par semaine et faite en sorte qu’ils cessent le travail à des heures raisonnables. En certains endroits de l'Afrique subsaharienne, les forgerons jouissent d’une réputation pratiquement divine. Certaines d'entre elles ont un système de castes rigide et strict avec une forme d’esclavage intégré, tandis que d'autres sont plus diffuses et complexes. Ces derniers se sont, à leur tour, subdivisés en 2 groupes eux-mêmes subdivisés : Ces trois groupes sont appelées horon ou horo en mandingue par opposition aux gens de castes, les nyamakalan. The nomads fall into three subgroups: Tuaregs (1.7% of the population), … enad) : forgerons (en fait plus généralement les artisans) noirs ; les hommes du pouvoir (les chefs et leurs notabilités) ; les « hommes de caste » : bouchers, tisserands, forgerons, potiers, griots, coiffeurs traditionnels (barbiers), cordonniers, puisatiers et les esclaves. Des Des dizaines d’ethnies sont encore organisées en castes : parmi elles, les Mandingues, les Soninké, les Wolofs, les Peuls, les Toucouleurs, les Songhaï, les Sénéfous, les Dogons, les Touaregs et les Maures, présents principalement au Mali, au Sénégal, en Guinée, au Burkina Faso, en Mauritanie, en Gambie, en Guinée-Bissau, en Côte d'Ivoire (nord), au Cameroun (extrême-nord) et au Sierra Leone. Mais dans certains villages du nord de la région de Kayes, les descendants d'esclaves sont toujours confrontés à … Ils sont considérés comme un groupe social à part, détenant un savoir-faire technique spécifique et indispensable, mais avec lequel tous s'abstiennent d'avoir des liens de mariage. La passionaria gauchiste antiblanche Assa Traore ose dénoncer l’esclavage supposément pratiqué par ces sales Blancs. - Les "non nobles" ou ñeeñɓe (sing. Au Sénégal, sans être rigoureusement un interdit, il existe un tel ostracisme qu'il est pratiquement impossible à un homme d'épouser une femme de caste inférieure sans risquer de déchoir et de se retrouver mis au ban de la société. On veut pas avoir un Maire ou de député issu de familles de caste dite inférieur ou de famille d’anciens ” esclaves “… Dans certaines Localités du Mali cela a bien changé, il faut le reconnaire… Qui fut gouverneur de cette ville et bien … C'est le travail qui anoblit Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. C'est sans doute là que naît le système de castes[2],[3]. ñeeño) : Les mariages entre les deux groupes ne sont pas acceptés. Les esclaves exécutent les travaux les plus pénibles. Les hommes de caste s'occupent de distraire et de satisfaire les besoins matériels. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. ↑ « Mali : Kayes, l'esclavage en héritage », sur TV5MONDE, 13 mai 2019 (consulté le 19 juin 2020) Les patronymes les plus fréquents étaient les suivants : La société peule est la plus hiérarchisée d'Afrique. Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ». sont aussi appelés gens de caste ou castés[3]. Dans cette zone persiste une certaine forme d'esclavage, et ceux qui tentent de la combattre sont régulièrement victimes de violences. Français de les maliens Le Mali La nourriture: Le mafé La cuisine Malienne est très similaire a celle de la Guinée et aussi du Sénégal . Les Candidats issus de familles de castes ou d’anciens esclaves sont lésés en raison de leurs origines sociales. Les castes au Mali, comme dans beaucoup de sociétés d'Afrique de l'ouest (Guinée, Sénégal, Burkina...), correspondent à une stratification sociale encore actuelle dont l'origine remonte à l'Empire du Mali. Pour certains historiens, la création des castes au Mali a lieu sous le règne de Soundiata Keita, au XIIIe siècle, afin de structurer la société de l'empire, et de définir les rôles joués par les uns et les autres pour la bonne marche des affaires de l'empire[1]. Selon le chercheur Tal Tamari, la caste en tant qu'institution officielle aurait émergé au moment du conflit entre Soundiata Keïta, le fondateur de l'empire du Mali, au XIIIe siècle, et Soumaoro Kanté, son adversaire sosso, qui aboutira à la défaite de ce dernier[3]. En d'autres endroits, ils sont considérés comme faisant partie des couches inférieures de la société, en relation avec l'aspect manuel de leur travail[9]. Le chef du village, Ibrahima Ly, tout de bleu vêtu et confortablement assis sur une chaise de plastique, secoue la tête avant de prendre la parole : « Ces propos ont bouleversé tout le village. Les nyamakalan (les griots, forgerons, cordonniers, bûcherons, etc...) sont à proprement parler les gens de caste ou castés[6]. On peut les appeler les Fulɓe aynaaɓe (Peuls éleveurs). Encore au 21è siècle au Mali, nous assistons à l’échec de nombreux projet de mariage pour cause les parents refusent le mariage entre la caste et le noble. https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Castes_au_Mali&oldid=174691721, Portail:Sciences humaines et sociales/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. ↑ a b et c Aminata Adama Keïta, « Au Mali, l’amour impossible de Mariame la noble et Oumar le griot », Le Monde, 27 décembre 2018 (lire en ligne) ↑ La caste des forgerons. Un homme a été agressé le 17 septembre dans le village de Kremis, dans la région de Kayes, dans le sud-ouest du Mali. Au sommet de la hiérarchie, les nobles veillent sur la protection et la sécurité du groupe. Les castes dressent une barrière matrimoniale, plus difficile à franchir que celle des ethnies (le terme de caste étant entendu ici dans le sens général de classe sociale, à caractère d'exclusive, et non dans le sens qu'on lui donne dans certaines régions, où le terme est réservé aux castes artisanales[5]). Quand on parle d’esclavage, les gens pensent à la “traite”, mais personne n’ose dénoncer l’esclavage par ascendance, qui n’est pas bon pour l’image du Mali. En pratique : Quelles sources sont attendues ? Par ailleurs, les mariages intercastes, notamment entre horon et nyamakalan, sont très rares et mal acceptés. Le Mali et la Mauritanie pratiquent encore l'esclavage de descendance ou l'esclavage dit « de caste » - qui transmet le statut d'esclave de génération en génération. Toutefois, ces divisions sociales perdurent dans les mentalités[2]. Ainsi, il est toujours très mal vu pour un « horon » (noble) de devenir chanteur, métier réservé aux djeli. VIVE L'EGALITE Répondre + 0 - 0 Les sociétés du Mandé étaient initialement divisée en familles ou en clans. Les patronymes les plus fréquents chez les Garankés sont Simaga, Saké. Comme en Inde, le système des castes n’a plus d’existence officielle en Afrique, mais leur hiérarchie demeure très présente dans beaucoup de sociétés africaines. La place de chacun dans la hiérarchie sociale des castes est facilement connue car 95 % de la population partage 300 noms de famille[7]. Ces mots peuvent suffire à déchaîner la haine et la violence dans certains villages de la région de Kayes, dans le sud-ouest du Mali, où « l’esclavage par ascendance » continue de se pratiquer, et condamne des personnes à être considérées inférieures par d’autres. Une exception : il arrive qu'un maître épouse sa captive, pour en avoir des enfants qui seront libres, la mère sera affranchie par ce fait, mais si l'union est stérile, la femme demeure dans sa condition servile. En fait, avant même la création des castes, il existait déjà une structuration de fait de la société et un certain niveau de partage des responsabilités. ... Les gens doivent comprendre que c'est pas l'ethnie qui fait de quelqu'un noble ou caste/esclave. Ces clans ont été répertoriés en 1236 dans la charte dite de Kurukan Fuga, ou du Manden, établie par le roi Soundjata Keïta et un collège de généraux, de sages et de hauts dignitaires de l’empire[2]. Les castes en Afrique sont une forme de stratification sociale que l’on retrouve dans plusieurs groupes ethniques en Afrique de l'Ouest et au Sahel. Countries in Africa that have societies with caste systems include Mali, Mauritania, Senegal, Gambia, Guinea, Ivory Coast, Niger, Burkina Faso, Cameroon, Liberia, Sudan, Sierra Leone, Algeria, Nigeria, Chad, Ethiopia, Somalia, Djibouti, Eritrea and others. L’esclavage a été aboli au Mali en 1905 pendant la période coloniale, de même que dans toute l’Afrique occidentale française. nécessaire]. Tel était le thème de l'atelier organisé mercredi dernier à Dakar, par la coalition des Organisations non Allez demander si nous sommes des “maccubés” (membres de la caste des esclaves) ». La discrimination fondée sur la caste des esclaves n'est pas courante chez les Yoruba ou les Haoussa, les deux autres grands groupes ethniques du Nigeria.